Clin d’œil évident face au Garage Days de Metallica, il est à se demander si Inter Arma pratique vraiment dans un édifice du nom de Garbers. Si tel est le cas, c’est tout simplement brillant comme allusion. Sinon, eh bien, c’est tout simplement brillant comme clin d’œil!
Mais attendez! Après quelques recherches, j’ai pu trouver l’information et effectivement, Garbers était vraiment un édifice pour musiciens. L’établissement a dû fermer ses portes en 2016, mettant un bon nombre de groupes à la rue.
Garbers Day Revisited ne présente que des interprétations exécutées par ce groupe qui nous vient de la même ville que Gwar, Municipal Waste et Lamb of God, c’est-à-dire Richmond, en Virginie.
Parfois, le groupe désintègre la version originale, comme sur Southern Man de Neil Young ou The Girl Who Lives on Heaven Hill, de Hüsker Dü mais c’est la justesse qui ressort sur des interprétations plutôt adroites de March of the Pigs de Nine Inch Nails, Scarecrow de Ministry et In League With Satan de Venom.
Comme la saveur au melon d’eau dans une boîte de 25 Mr.Freeze mixés, Runnin Down a Dream de Tom Petty m’a rempli de bonheur avec son charme excessivement sucré et agréablement goûteux!
Autre surprise, la présence de Purple Rain de Prince qui se veut légèrement saucée dans le sludge poisseux grâce à la voix courroucée de Mike Paparo.
Curiosité, disponible chez Relapse Records!
Boulevard Brutal 
