Qualifier 2020 comme une année merdique ne serait pas assez, puissant. Ce que l’on prévoyait comme étant une année de dépenses folles en achats de billets de concerts, de rencontres métalloïdes et de 5 à 7 sous le signe du rock a plutôt été une année d’anxiété, de confinement, de stress mais d’enrichissement monétaire pour ceux qui ont pu garder leur job. Hein? Pourquoi? Parce qu’on ne pouvait rien faire avec nos bidous et qu’on voyait nos chèques de paie s’accumuler… ou bien parce que tu fraudais la PCU!
Année très particulière. Au moins, j’ai pu faire de la télé-jeunesse pendant le confinement, grâce à L’École à la Maison, sur Télé-Québec. Moi qui pensais me faire reconnaitre partout où j’irais, ce n’était pas le cas, étant donné le port du masque.
Sur ce, voici les 20 albums qui m’ont permis de passer au travers 2020. Ça, en plus d’une quantité astronomique de bières qui proviennent de notre Belle Province, question d’être #Panier Bleu.
20. UNREQUVITED — Mosaic II : La Déteste et la Détresse
19. HAKEN — Virus
18. DEMONICAL — World Domination
17. PALLBEARER — Forgotten Days
16. BENEDICTION — Scriptures
15. PYRAMAZE — Epitaph
14. SPIRIT OF REBELLION — Time for Global Refusal
13. ENSLAVED — Utgard
12. PARADISE LOST — Obsidian
11. NECROT— Mortal
10. TEMPLE OF VOID — The World that Was
9. SERMENT — Chante, Ô Flamme de la Liberté
8. NAPALM DEATH — Throes of Joy in the Jaws of Defeatism
7. ORBIT CULTURE — Nija
6. GOD DETHRONED — Illuminati
5. SPIRIT ADRIFT— Enlightened in Eternity
4. DARK TRANQUILLITY— Moment
3. WITCHSKULL — A Driftwood Cross
2. ULVER — Flowers of Evil
1. ELDER — Omens
Bref, 2020 nous aura démontré que le respect des règles sanitaires n’est pas l’affaire de tout le monde. Que le Canada a une capacité d’emprunter des dollars qui se veut sans fin. Que Trump est un coriace compétiteur, que sa base d’admirateurs dépasse même la frontière et que les conspirationnistes ont des idées face à des concepts précis d’une Organisation Mondiale voulant prendre le contrôle de la Terre, tout en étant des cannibales pédophiles sataniques.
Ça, même Cannibal Corpse n’y avait pas pensé comme concept pour son prochain album… et c’est bien ça qui est le plus effrayant dans toute cette année!