Il y a un certain buzz à l’entour de The Healing Powers Of Hate et pour cause, le premier album de BornBroken est l’album de la semaine sur le site de Revolver Magazine. Tout un honneur et c’est amplement mérité. Ça me manquait d’entendre du bon groove métal et cette formation de Montréal excelle dans ce domaine. Imagine un mélange de Pantera et Lamb Of God avec une voix hardcore à la Hatebreed et ça te donne une bonne idée du style que propose BornBroken.
Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant.
Pour ce qui est des chansons, The Healing Powers Of Hate débute avec Can’t Quiet the Riot et ses riffs de feu qui risquent de décoller ton BBQ sans même utiliser ta bonbonne de propane. Control et Bleed The Sky possèdent des rhythmes aussi rapides qu’une poursuite d’un certain festival envers un band local qui n’a pas vendu son quota de billets, tandis que le riff d’ouverture de I Will Rise a le même effet que la gauche d’Adonis Stevenson sur le pauvre Dawson. Tu me crois pas, écoute ça.
http://soundcloud.com/bornbrokenmusic/cant-quiet-the-riot/
Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante. Bien que leur musique ne déborde pas nécessairement d’originalité, c’est très fiable. Il y a quelques breakdowns ici et là, toutefois ils sont habilement construits et ont la qualité de ne pas finir par nous tomber sur les nerfs. Quant à la performance du chanteur Jesus Salazar, le gars gueule ses textes haineux avec conviction. Je dis haineux, mais BornBroken incite tout de même les gens à se réveiller et créer un monde meilleur comme le veut la bonne vieille tradition hardcore. Une attitude que j’aime bien d’ailleurs. Je trouve cependant que 44 minutes dans le style, c’est un peu long. Vers les deux dernières chansons, t’as l’impression d’avoir entendu tout ce que le groupe a à offrir. Faut ben que je chiâle un peu.
J’harcèle les membres de ma famille avec ce disque dans l’auto depuis quelques semaines et à chaque fois ils me supplient de mettre la radio, un bon indice de brutalité en général… Pour une première offrande, BornBroken surprend. Fais jouer ça dans ton party de fête des pères demain, ta visite va capoter ou crisser le camp, l’un des deux… Une tournée québécoise avec en tête d’affiche BornBroken et Burning The Opressor botteraient rondement des culs. Je dis ça de même…
Cote de Steve: 8 «tu vas payer pour jouer dans mon festival mon osti» sur 10
[…] https://boulevardbrutal.com/2013/06/15/critique-de-the-healing-powers-of-hate-bornbroken/ […]
[…] Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant…Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante.” – 8/10 – Boulevard Brutal […]
[…] Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant…Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante.” – 8/10 – Boulevard Brutal […]
[…] Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant…Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante.” – 8/10 – Boulevard Brutal […]
[…] Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant…Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante.” – 8/10 – Boulevard Brutal […]
[…] Ce qui frappe à la première écoute est la qualité de la réalisation. T’as l’impression qu’il y a des blocs de ciment qui sortent de tes speakers tellement le son est sec et puissant. J’aime particulièrement l’attaque de la batterie qui me rappelle celle de Vinnie Paul sur Reinventing the Steel. C’est une bonne référence en passant…Si tu apprécies les bons solos de guitares, cet album en est plein, j’adore entre autres ceux à la Slayer sur la pièce It Has Begun. BornBroken ne cache pas ses influences mais livre la marchandise avec une confiance déconcertante.” – 8/10 – Boulevard Brutal […]