En surfant sur internet, j’ai découvert un nouveau terme : Synth Breakdowns. Comme tout le monde j’avais déjà entendu la présence importante de clavier dans certains groupes metalcore ou deathcore, mais The Browning m’a un peu surpris avec la pièce Standing on the Edge. On dirait un beat venant du grand Daniel Desnoyers (D-Noy pour les intimes). Le crossover du métal et du rap étant déjà fait, ça me donne l’impression que le dance music est le prochain style à pénétrer le milieu du métal. Ça risque de faire mal. Très mal.
Ceci étant dit, je trouve que The Browning propose une musique tout de même intéressante. C’est brutal. Je ne suis loin d’être vendu à 100 % de la forte présence des euro beats. N’allez pas penser que je suis un régulier du Radio Lounge!
Vous pouvez vous procurer l’album en format digital pour 5 $ sur leur site web.

[…] On en avait parlé récemment sur le site. The Browning fait partie de la vague de nouveaux bands qui font des synth breakdowns, qui mélangent un clavier un peu plus techno avec du métal. Comme je suis un fan d’industriel, ça me fait toujours du bien d’entendre du clavier sur du métal. J’étais mitigé au départ sur The Browning mais peu à peu, j’dois avouer que l’album me plait de plus en plus. C’est certain que les premières notes de Standing On The Edge me donnent l’impression que c’est une toune dance qui va partir, mais quand on considère que Dark Tranquility fait à peu près la même chose, c’est pardonnable. […]